C’est pourquoi, la FSU demande qu’une rencontre soit organisée nous associant à tous les acteurs de la
protection de l’enfance afin d’évoquer les points suivants :
• Le nombre de situations difficiles
• La fiche de poste des ASSFAMS
• L’évaluation des mises en cause
• La reprise des groupes de travail dans le cadre des comités de suivi enfance.
La confiance envers notre institution est engagée.
Les collègues du libournais (secrétaires, pôle prévention et assistants sociaux) nous alertent sur les
conséquences des restrictions budgétaires dans l’exercice de leurs missions auprès des familles
girondines.
Les notes de cadrages budgétaires produites courant de l’année 2024 ont déjà fortement impactées les
aides allouées aux familles précarisées et les décisions à venir sur 2025 sont particulièrement
inquiétantes. Ces éléments confrontent les collègues à une forme d’échec dans leurs missions
d’accompagnement et de prévention avec des commandes institutionnelles contradictoires et un
décalage entre les valeurs que sous-tendent l’exercice de cette mission de solidarité et les moyens
alloués pour l’exercer
